Trop fort Jean-Jacques.

Jean-Jacques Rousseau. Ebauches des Rêveries du promeneur solitaire. «Vingt sept cartes à jouer, sur lesquelles Rousseau avait pris des notes, furent trouvées après sa mort, dans ses papiers, par le marquis de Girardin qui les envoya ou les remit à Du Peyrou. Elles sont conservées à la Bibliothèque de Neuchâtel. Ces notes sont écrites à l’encre ou au crayon, ou au crayon repassé à l’encre; elles sont parfois d’un déchiffrement malaisé, les traits de crayon étant devenus de plus en plus pâles; on peut supposer qu’elles ont été prises par Rousseau au cours de ses promenades.» Leurs textes figurent dans le Tome 1 de la Pléiade des écrits autobiographiques de Jean-Jacques Rousseau.


Carte 24. p. 1171 (recto et verso)

«Qu’on est puissant, qu’on est fort quand on n’espére plus rien des hommes. Je ris de la folle ineptie des méchans quand je songe que trente ans de soins, de travaux, de soucis, de peines ne leur ont servi qu’à me mettre pleinement au dessus d’eux.»

Mars 1985. «De la mère à l’enfant…»

deux01
printemps 1985. 93 bis

delenfant

«De la mère à l’enfant il rendit les tendresses
De l’enfant à la mère il rendit les caresses !
De l’homme à sa naissance, il fut le bienfaiteur,
Et le rendit plus libre afin qu’il fut meilleur ! »
Estampage d’une partie de ce texte — éloge de Rousseau—, gravé sur la pierre  dressée à côté de la Table des mères, parc à l’anglaise du Chateau du Marquis de Girardin à Ermenonville.