James Turrell. Aten Reign’ in a New Light: As a Print

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« Light is this amazing elixir,” James Turrell explains. “We drink light through the skin as Vitamin D … so we are literally light eaters. It’s part of our diet.” It makes sense then that Turrell’s light spaces—immersive installations realized through combinations of natural, artificial, and colored light—are best understood through experience, and are not easily captured through photographs or words. Such was the case last summer with the acclaimed Aten Reign, Turrell’s site-specific environment that took over the Guggenheim’s iconic Frank Lloyd Wright rotunda, through a shifting cycle of colored light, projected onto a series elliptical white scrims (Roberta Smith of the New York Times dubbed it “close to oxymoronic: a meditative spectacle”). Now, a year later, Turrell has returned to this temporal work and presents it in new light, as a printed edition. »

https://artsy.net/artwork/james-turrell-rendering-for-aten-reign-5

https://artsy.net/artist/james-turrell

Turrell appartient au mouvement artistique sud-californien Light And Space Movement http://www.kpbs.org/news/2011/sep/30/artists-use-light-inspiration/ > Dans son article publié en juin 2013 à propos de l’exposition du Guggenheim de James Turell, « New Light Fixture for a Famous Rotunda James Turrell Plays With Color at the Guggenheim »‘ Roberta Smith le signale et revient sur des pièces antérieures http://www.nytimes.com/2013/06/21/arts/design/james-turrell-plays-with-color-at-the-guggenheim.html?pagewanted=all&_r=0

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James Turell, Suite from Aten Reign, 2014 Pace Prints

Go! You sure? Yeah. Y aller….

http://www.poolproject.net/53/

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Stan VanDerBeek, Movie-Drome, 1963–1966/2012. Installation view, « Go! You Sure? Yeah, » at LUMA /Westbau, Zurich. Courtesy the Estate of Stan VanDerBeek. Photo: Stefan Altenburger Photography, Zurich.

Rappel d’un compte-rendu de livre qui en parle.

Exposition et médias : Photographie, cinéma et télévision, (sous la dir. d’Olivier Lugon), L’Âge d’Homme, Collection « Histoire et Esthétique du cinéma », Série « Travaux », Lausanne, 2012
372 pages.*
«Le médium exposition,19e-21e siècle, en Europe et aux États-Unis, — exposition universelle ou exposition muséale —, reconfiguré par la photo, le cinéma et la télévision intégrés à elle au titre de « médias servant » ou de « médias servis », est ici l’objet d’un exercice de généalogie savante à 13 voix, média par média ou par médias associés : l’exposition Film und Foto de Lissitzky (Fifo), 1929, p. 197, les Funkausstellung, 1933 et 1935, télévision et photomontage« sous le signe de la croix gammée », p. 272 et 278, le multimédia du Movie-Drome de Stan VanDerBeek, 1965, p. 233, et des Nine Evenings du collectif  Experiments in Art and Technology, 1966, p. 241. La vision actuelle désossée de l’exposition qu’offre le terme « dispositif visuel » proposé par Jean-Christophe Royoux peut ouvrir une voie aux seuls médias dématérialisés. Il ne resterait alors que l’électricité maîtresse du jeu et la dispersion généralisée d’images fixes et en mouvement des objets du monde, art compris, sur divers devices à écrans, mobiles et portables. Dès 1964, exposition et médias tendent à satisfaire au « besoin humain de traiter et de communiquer de plus en plus grandes quantités d’informations de plus en plus complexes » selon le designer Charles Eames qui réalise l’exposition The Information Machine, avec l’architecte Eero Saarinen pour le pavillon IBM de l’Exposition Universelle de New York, hymne au cerveau-machine, à l’ordinateur, p. 336. Mais le résidu, au sens noble, de tout cet ouvrage sur l’exposition et les médias pourrait être deux jeux de cartes : la House of Cards des Eames, 1952, cartes-images d’une grande variété de figures et motifs recto-verso, reproduites photographiquement en couleurs, et l’Atlas Mnémozine d’Aby Warburg, 1929, pensé comme un ensemble de fiches volantes comportant chacune une série d’images, reproductions photographiques en noir et blanc d’œuvres d’art et au-delà, pour composer des expositions pour soi. Ainsi, la photographie, substitut d’image mentale, et activatrice d’un cerveau en marche, aujourd’hui utilisateur intelligent du flux d’images-internet, reste le média porteur de l’« art discursif » du médium exposition.» 
Liliane Terrier

* «L’ouvrage est issu d’un colloque éponyme tenu à l’Université de Lausanne en 2009. 3e colloque semestriel du Centre des Sciences historiques de la culture, unité interdisciplinaire de la Faculté des Lettres tournée vers l’histoire culturelle et l’intermédialité, et le premier organisé dans le cadre du projet de recherche ‘L’exposition moderne de la photographie 1920-1970’. Il avait pour visée de resituer l’étude spécifique de l’exposition photographique dans un contexte élargi, en la confrontant de façon plus globale à la question de la scénographie des médias et en faisant dialoguer pour cela des historiens de l’art, du cinéma et de la télévision, chercheurs universitaires comme responsables de musées.» p. 18

et Immemory de Chris Marker, où le situer http://www.chrismarker.org/immemory/

Retrouvé!

Ce site très magnifique, http://www.greatdixter.co.uk., retrouvé à partir du post de Jean-Louis à propos des clématites blanches, Duchess of Edimburgh (George Jackman, England, 1874), 2012, http://jlggb.net/blog3/?p=3849 vers le post à propos des mêmes clématites, 2010, http://jlggb.net/blog2/?p=3020
Y aller pour la Great Dixter Plant Fair, Saturday 6th & Sunday 7th October 2012, 11am-4pm http://www.greatdixter.co.uk/events/great-dixter-plant-fair/


La greatbarn

La tête de lit idéale de Corbu



The bedroom au fond de l’appartement-atelier de Corbu, Rue Nungesser et Coli.
Plus classieuses, les photos de Jean-Louis
.


Dans le hall d’entrée de l’immeuble, un mur de fac-similés* des pages d’un livre d’artiste, portfolio de lithographies, Poème de l’angle droit (1955) de Le Corbusier: quelques préceptes écrits-dessinés sympathiques!
* Le Corbusier considérait le fac-similé comme une pratique éditrice de recyclage de pages imprimées. Catherine de Smet le révèle à propos du livre Les Plans de Paris:

«La première caractéristique de l’ouvrage tient dans son contenu presque exclusivement constitué de fragments de livres antérieurs, reproduits en fac-similés. Ce principe du remploi éditorial est ancien: à l’époque de L’Esprit nouveau, Jeanneret et Ozenfant avaient littéralement programmé le recyclage des numéros de la revue, conçus à partir de 1923 de façon à ce que les invendus puissent être démantelés en vue d’une autre répartition des articles —ambitieux projet désigné de façon significative sous le terme d’édition-remploi. La Ville radieuse réunissait, en 1935, des articles déjà parus dans les revues Plan et Prélude, mais aussi dans l’Architecture vivante et dans l’Architecture aujourd’hui, et l’ensemble de la bibliographie de Le Corbusier foisonne de tels exemples. Les Plans de Paris reprend ainsi de nombreux passages d’ouvrages antérieurs, —en particulier de L’œuvre complète et de La Ville radieuse, conservés tels quels dans leur mise en page d’origine. Le livre recycle au demeurant du matériel que déjà La Ville radieuse recyclait: processus de reprise sans fin, à rapprocher des manifestations analogues dans d’autres domaines, comme ceux de formes architecturales et de l’œuvre plastique, et qu’il convient de considérer comme un ressort essentiel de la dynamique de Le Corbusier. La part inédite est représentée par une double ponctuation manuscrite et colorée au fil des pages.» in Le Corbusier, Un architecte et ses livres, Lars Müller, p. 102

Benjamin Buchloh & Gerhard Richter


Les ornements aléatoires de Benjamin Buchloh, en… par centrepompidou

Le critique américain dialecticien est mis à l’épreuve des derniers travaux déroutants du peintre octogénaire en roue libre qui semble avoir mis en suspens sa peinture iconographique mnémonique tandis que sa peinture abstraite moderniste se trouve aujourd’hui réduite à la fois à l’état léthargique de petits fixés sous verre aux couleurs criardes répulsives et à celui de Strips bayadère numériques de grand format horizontal quasi-hallucinogènes. Le film Gerhard Richter – Painting est aussi déroutant: on y voit, en live, l’artiste millionnaire en euros manipuler lui-même le racloir à peinture sur des couples de toiles de grand format. Aujourd’hui il se dirige vers la conversion numérique de ses toiles abstraites sous forme de tirages sur papier de Strips de très grand format. Il a acheté l’imprimante, a précisé Buchloh.
Lien > http://jlggb.net/blog3/?p=2906

Pink Fantasy & New Dawn


Pink Fantasy, c’est la clématite & New Dawn la rose et c’est dans la cour de Merci qu’on trouve ce joli coktail… photo©jlb

… auquel j’aspire pour la loggia d’Isaline. Il y a déjà la New Dawn, cadeau de Françoise et Lazare mais qui n’a à ce jour que des misères de croissance (araignée destructive de la soixantaine de boutons en devenir du deuxième fleurissement, un vrai gâchis, après un premier fleurissement photographié ici et qui dut être beau pour les piétons de la rue.  photo©jlb